Bio
Détenteur d’un baccalauréat en communication graphique, Francis Arguin achève présentement un second baccalauréat, en arts plastiques. Il pratique principalement la performance, la vidéo et la peinture. Il a présenté ses réalisations vidéographiques à des événements tels que l’EICV, l’Agora festif et Vidéastes recherchés. Depuis 2000, il a présenté des activités performatives à plusieurs reprises, dans différentes villes du Québec : Rouyn-Noranda (L’écart…lieu d’art actuel), Québec (Université Laval, galerie Rouje, Le Lieu), Montréal (Université du Québec à Montréal), Rimouski (Caravansérail), et à Boston, aux États-Unis (School of the Museum of Fine Arts). En plus de poursuivre une démarche solo, il forme, avec Francis O’Shaughnessy, le collectif Les Frites Frettes.
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Amélie Laurence Fortin vit et travaille à Québec. Détentrice d’un baccalauréat en arts visuels de l’Université Laval (2004), elle a également étudié à l’École Supérieure des Beaux-arts de Marseille (2003). En 2004, elle a reçu la Bourse Louis Garneau et la Bourse Tomber dans l’Oeil. Elle a fait ses premières armes en exposant en solo dans la grande galerie de l’Oeil de Poisson (Québec, 2005). Elle a aussi participé à plusieurs expositions collectives, manoeuvres et revues indépendantes (Québec et Marseille).
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Paule Genest a terminé des études à la maîtrise des arts visuels de l’Université Laval en 2004. Active dans le milieu artistique depuis 1998, elle a fondé l’Autre galerie et a été commissaire de l’événement d’art éphémère in situ Éco art à Québec et en France (en collaboration avec l’OFQJ et l’Autre caserne). En 2003, elle présentait l’exposition Les Carillons de lumière à la galerie Rouje et Matière d’être à la Galerie des arts visuels de l’Université Laval. En 2004, elle remportait un prix au concours d’œuvres d’art de la Ville de Québec.
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Artiste pluridisciplinaire d’origine abitibienne, Myriam Lambert exploite et combine les voies de l’art installatif, sculptural, pictural et perfomatif. Ses œuvres sculpturales et installatives sondent les fondements et les conséquences du rapport de l’humain à son espace physique. Ses expérimentations ont occupé différents endroits de diffusion, notamment L’Écart…lieu d’art actuel (2003) ainsi que plusieurs sites, autant extérieurs qu’intérieurs. Profondément impliquée dans le milieu artistique, elle fut l’instigatrice de nombreux événements culturels et expositions dont « Papillionis Nocturnus… » (2003), « l’Art sans Frontières » (2004), « Couleurs Tablettes » (2004) et « Motus et couche moussue » (2005). Elle a participé également à des résidences d’artistes dont « Repentir » et « L’ère éphémère », en 2003. Elle complète actuellement son baccalauréat en arts visuels à l’Université Laval.
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Né à Shawinigan, Félix LeBlanc détient un baccalauréat en arts plastiques de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Il vit et travaille maintenant à Québec, où il a participé à l'exposition collective « Massacre à la scie » en 2004. Ses médiums de prédilection sont les arts graphiques, la peinture et la bande dessinée. Il a aussi travaillé en sérigraphie industrielle. Membre actif de L'Oeil de poisson il y prépare une exposition en duo avec l'artiste multidisciplinaire Christine St-Maur pour février 2006.
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Issue d’une famille d’entrepreneurs de Rouyn-Noranda, Julie Théberge a fait quelques détours avant d’aboutir dans le merveilleux monde des arts visuels. Bachelière en psychologie de l’Université McGill, elle a par la suite réalisé deux projets d’expositions et fait partie des membres fondateurs de la troisième cellule kino au monde dans Charlevoix. Elle étudie maintenant les arts visuels à l’Université Laval. Son travail de création porte essentiellement sur la subjectivité des choses. En exposant l’unicité et la singularité de chaque point de vue d’une situation ou d’un lieu donné, elle démontre aussi la complexité et l’universalité de l’expérience humaine.
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Mathieu Valade vient de terminer une maîtrise en arts visuels à l’Université Laval. Depuis ses études de baccalauréat à l’Université du Québec à Montréal, il s’intéresse spécialement à la sculpture. Sa pratique se concentre sur le rapport que peuvent entretenir les formes géométriques avec des éléments dont la provenance est autre (design, objet trouvé ou objet illusionniste). L’insertion d’œuvres à différents contextes, autant en galerie qu’en milieu extérieur, fait aussi partie de son questionnement. Il est d’ailleurs l’un des membres fondateurs de l’événement annuel Pique-Nique, qui favorise l’intrusion d’interventions artistiques éphémères en contexte urbain.