Résidence de maîtrise en arts visuels

2015-2017

Pascale LeBlanc Lavigne |


Depuis 2013, l’École d’art de l’Université Laval permet à un(e) étudiant(e) de la maîtrise en arts visuels d’entreprendre sa recherche dans l’un des trois centres suivants : Avatar, La Bande Vidéo et LA CHAMBRE BLANCHE. Le candidat ou la candidate sélectionné(e) est en résidence dans l’un de ces centres pendant les deux années de sa maîtrise. Cette collaboration est possible grâce à la contribution du Fonds Fondation-René-Richard. LA CHAMBRE BLANCHE a le plaisir d’accueillir pour une deuxième année consécutive Pascale LeBlanc Lavigne. L’artiste bénéficie de l’espace des laboratoires du centre, de tout l’équipement disponible ainsi que de l’aide technique pour la réalisation de ses projets. LeBlanc Lavigne a commencé sa résidence à l’automne 2015, elle se poursuivra jusqu’à l’été 2017. Le travail de Pascale LeBlanc Lavigne s’articule autour de la notion d’imprévisible. Elle produit des sculptures cinétiques et sonores au moyen de matériaux récupérés ou de matériaux de nature industrielle. Ainsi, ses structures instables et parfois éphémères produisent des phénomènes inattendus et poétiques.

Depuis 2013, l’École d’art de l’Université Laval permet à un(e) étudiant(e) de la maîtrise en arts visuels d’entreprendre sa recherche dans l’un des trois centres suivants : Avatar, La Bande Vidéo et LA CHAMBRE BLANCHE. Le candidat ou la candidate sélectionné(e) est en résidence dans l’un de ces centres pendant les deux années de sa maîtrise. Cette collaboration est possible grâce à la contribution du Fonds Fondation-René-Richard.

LA CHAMBRE BLANCHE a le plaisir d’accueillir pour une deuxième année consécutive Pascale LeBlanc Lavigne. L’artiste bénéficie de l’espace des laboratoires du centre, de tout l’équipement disponible ainsi que de l’aide technique pour la réalisation de ses projets. LeBlanc Lavigne a commencé sa résidence à l’automne 2015, elle se poursuivra jusqu’à l’été 2017. Le travail de Pascale LeBlanc Lavigne s’articule autour de la notion d’imprévisible. Elle produit des sculptures cinétiques et sonores au moyen de matériaux récupérés ou de matériaux de nature industrielle. Ainsi, ses structures instables et parfois éphémères produisent des phénomènes inattendus et poétiques.






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