l@ch@mbrebl@nche prize

Delphine Hébert |

l@ch@mbrebl@nche 2015’s prize was awarded to Delphine Hébert, undergraduate in the Visual arts program from the Université Laval. Hébert has thus started a production residency that will go on until December 20. While competing her BA, her works and researches were focused on media and electronic arts. Her work Mind the gap presented in the undergraduate exhibition offers a device that allowed the visitors to create a unique soundtrack of their experience. This device, set up in tracts on the ceiling, was basically invisible. This discreet presence, this presence in the absence somehow that challenges Delphine Hébert. For this young artist who has so far only worked in collective exhibitions, this solo residency is the stepping stone of practice. Her intervention in audio art is minimal. In the course of this residency Hébert will further her experimentation a with sound and will be honing her work with devices. For instance, she intends to take the challenge of producing one device a week.



Bio

Delphine Hébert vit et travaille à Québec. Elle est titulaire d’un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’Université Laval (Qc) au cours duquel elle s’est consacrée à une pratique en arts médiatiques. Ses recherches sur le son l’ont menée à Nice (France) dans le cadre d’une résidence/échange en art sonore à l’École nationale supérieure d'art de la Villa Arson. Elle a également eu l'occasion de participer au projet Cité Audio, un parcours sonore géolocalisé réalisé en collaboration avec le Musée national des Beaux-Arts du Québec et l'Université Laval, ainsi qu'à la résidence intensive LAB1 initiée par la Galerie des arts visuels, à Québec. Elle s’est vue décerner, à l’issu de l’exposition de fin d’étude, le prix Garde-Fou de Folie/Culture, une mention spéciale de La Bande Vidéo ainsi que le prix LA CHAMBRE BLANCHE.

Démarche

Je crée des dispositifs dans lesquels l’espace et le temps pivotent, se dédoublent, se chassent et se croisent, quand le réel, en différé, génère une fiction ou quand la fiction, le faux, devient vraie. Je réfléchis aux relations que l’on peut entretenir avec un contexte particulier. Les lieux: je les observe, je les déplace, je les ouvre, je les renverse. Je crée des interstices. L’espace architecturale, les corps, le son, l’image s’articulent alors autour d’un désir de mouvement, de coexistence, de re/dé/connexion. Ainsi, j’habite les espaces.




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